Taekwondo / Open d’Abobo : le club Kobenan de Koumassi vainqueur de la 2e édition

Le club Kobenan de Koumassi est le grand vainqueur de l’Open d’Abobo de taekwondo 2021.

C’est une journée de folie que le comité d’organisation de la deuxième édition de l’Open d’Abobo dirigé par Me Kouyaté Samy a fait vivre aux amoureux du Taekwondo. Ils ont venu de toutes les régions du pays pour vivre l’événement. 257 athlètes issus de 59 clubs ont participé à cette grand’messe du Taekwondo ce samedi 28 août au palais des sports de Treichville.

Kobenan remporte l’épreuve

Les taekwondo’in, repartis dans les catégories Kyorugi, junior, Olympiques et seniors ont livré des matches de haute intensité qui ont tenu en haleine le public venu nombreux. Deux clubs de Koumassi sont montées sur la plus haute marche du podium à égalité en terme de nombre de médailles remportées.

Il s’agit du Kobenan Club et de l’Ineka qui ont respectivement décroché 3 médailles d’or, 2 en argent et une en bronze. Mais sur instruction des sages, le club Kobenan a été déclaré vainqueur pour avoir participer à ce tournoi avec moins d’athlètes que Ineka. Le club Sylla Familly lui, ferme la marche du podium avec 2 médailles d’or et 4 argents.

Me Konaté Abdoulaye, président de la ligue communale d’Abobo s’est réjoui du grand retour de cette compétition après une année d’interruption . Si pour lui l’objectif premier reste la promotion du taekwondo et la détection de nouveau talent, il ne rêve pas moins de voir cet open continuer à grandir.

« Faire la promotion du Taekwondo féminin »

« C’est la plus grande activité de la ligue que je dirige. Nous n’avons pas pu organiser la compétition en 2020, mais cette année nous sommes présents et je suis ravi. Le calendrier sportif n’est pas terminé. Avant la fin de l’année, nous avons une grande compétition réservée uniquement aux Dames pour faire la promotion du taekwondo féminin », a-t-il indiqué.

Rappelons que l’open d’Abobo se tient chaque année depuis 2019. L’édition 2020 n’a pu se tenir en raison de la crise sanitaire.

Ali Fama