Le temps du travail n’est plus celui du repos. Après trois mois de vacances, les footballeurs ivoiriens locaux sont sur le point de débuter la nouvelle saison 2022-2023 avec le championnat de Côte d’Ivoire de Ligue 1 dont le coup d’envoi sera donné ce samedi 10 septembre.
Après avoir remporté son 28e championnat la saison écoulée, l’Asec Mimosas remet son titre en jeu. Le championnat de Ligue 1 de la saison 2022-2023 débute en effet ce samedi 10 septembre 2022 au Stade Robert Champroux de Marcory.
Les affiches
La première affiche de la nouvelle saison opposera le Stade d’Abidjan, le champion de Ligue 2, à Bouaké FC. De retour dans l’élite après quatre saisons dans la division inférieure, le mythique club bleu et rouge veut redorer son blason et reconquérir la scène nationale. En face, le BFC qui jouera sans doute le maintien, espère débuter par un résultat positif.
Un choc Lys – Bafing
Le Lys Sassandra, ‘‘l’enfant chéri’’ de nombreux supporteurs ivoiriens qui ont décidé de soutenir le club qui est le seul de Ligue 1 à avoir voté pour Didier Drogba lors de l’élection présidentielle de la FIF, affronte l’ES Bafing. Un choc entre deux jeunes équipes qui veulent s’affirmer en Ligue 1.
Dimanche 11 septembre, Sol FC encore sous le choc après le décès de son président Sanogo Souleymane se frotte à l’AFAD qui a terminé 7e la saison dernière malgré un très mauvais début d’exercice. Par la suite, le CO Korhogo qui a échappé à la relégation en raison du maintien des 14 clubs, va devoir batailler pour venir à bout du Stella Club d’Adjamé.
La première journée se poursuivra lundi 12 septembre avec le retour dans l’élite de l’autre promu l’AS Denguélé (relégué en 2016-2017) qui affronte l’ASI Abengourou tandis que le Racing Club d’Abidjan va croiser l’USC Bassam.
Asec et Gagnoa en retard
Qualifiés pour la Ligue des champions et la Coupe de la Confédération, l’Asec Mimosas et le Sporting Club de Gagnoa vaqueront à leurs devoirs internationaux ce weekend. Ils entreront donc en lice le 21 et le 22 septembre, Gagnoa contre FC San-Pedro et l’Asec face à la SOA.
